
Le projet de drone, accomplissement technique et entente interculturelle
A l’Isfates, le travail en équipes rime naturellement avec internationalité car c’est le quotidien des étudiants. Cela passe particulièrement par le biais de projets, développant l’entente entre élèves et leurs différentes compétences. C’est donc une thématique qui occupe les élèves de troisième année, et qui leur apprend de nombreuses qualités. Pour mieux comprendre la portée de ces travaux, nous avons ainsi décidé de porter un œil plus attentif au projet du drone. En effet ce projet regroupe cinq élèves des différentes filières techniques : génie mécanique, informatique et génie électrique.
Mais en quoi consiste réellement ce projet ? Pour mieux illustrer notre propos, nous avons décidé de questionner Alexandre, étudiant de la filière informatique qui est le responsable de ce projet pour cette année : « J’ai choisi le projet drone parce que c’est un objet que je trouve vraiment intéressant et attrayant, je voulais en apprendre plus sur tout ce qui se cache derrière en termes de conception et d’innovation » affirme-t-il. Les projets techniques tels que le drone, sont un moyen concret pour ceux qui en sont partie intégrante, de s’investir. De son côté, Tabley est étudiant en génie électrique et a été motivé par « un challenge excitant, quand on pense au résultat qu’il est possible d’obtenir. Je souhaitais appliquer les connaissances acquises ces deux années passées ».
Le projet de drone est sur le papier « une réutilisation du module amovible de celui de l’année dernière contenant les principaux composants électroniques du drone afin de s’en servir sur un drone de plus grande taille et avec de nouvelles fonctionnalités », affirme Alexandre. Au programme, dessins 3D, câblages, cassette de commande et logiciels, auxquels s’ajoutent de nouvelles fonctionnalités, spécifiques aux idées innovantes des élèves. Les étudiants doivent entre autres trouver les matériaux adéquats et ayant les caractéristiques adaptées au montage du drone car « toute erreur dans la prévision et les calculs peut impacter le projet négativement » explique Tabley. Ils doivent notamment tenir compte d’un certain budget à respecter, directive commune à tous les projets ; mais également planifier l’ensemble de leurs tâches sur le court comme le long terme, pour ne pas perdre de temps sur le projet.
Nous souhaitons du courage aux étudiants de troisième année, dans l’avancée de leurs projets respectifs. En ce qui concerne le drone, à suivre si les résultats sont là dans les prochains mois !